
Il était porteur d’un message du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.
Le Président de la République Paul Biya Reçu en audience le 18 février 2021, l’Envoyé spécial du Président de la Guinée équatoriale, Téodoro Obiang Nguema MbasogoDu quotidien national bilingue Cameroun Tribune en kiosque le 19 février 2021, le ministre d’État équato-guinéen chargé de l’intégration régionale, Balthasar Engonga Edjo’o, portait un message de son président.
«Pendant près d’une heure, le président de la république, l’actuel président de la communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) et l’Envoyé spécial de la Guinée équatoriale a examiné la coopération bilatérale et sous-régionale « , note le journaliste.
La crise sanitaire actuelle marquée par la pandémie de coronavirus ne permet pas la tenue de réunions en face à face. Les chefs d’Etat de la zone CEMAC ont alors décidé de rester en contact et de continuer à échanger régulièrement des émissaires.
En ce qui concerne les sujets abordés, Baltasar Engonga Edjo’o a indiqué qu’ils sont multiples: «Dans ce contexte, j’ai été porteur d’un message du président Obiang Nguema à son frère et ami, le président Paul Biya … il s’agit de réfléchir à la menace posée par la crise sanitaire des coronavirus dans la sous-région. Nous réfléchissons aux défis économiques, monétaires et sécuritaires de la sous-région « , on peut lire.
Le ministre d’État équato-guinéen chargé de l’intégration régionale a néanmoins rappelé que le contenu de la correspondance qu’il transportait était destiné au président Paul Biya.
Alors, Les multiples sujets abordés dans l’après-midi du 18 février 2021 l’expliquent fréquence des échanges entre les deux chefs d’État, le Cameroun et la Guinée équatoriale. Nous rappelons qu’après la visite de l’envoyé équato-guinéen au Palais de l’Unité le 22 décembre, le Ministre des Affaires étrangères, Secrétaire Général de la Présidence de la République a été reçu par le Président au Palais de la République le 7 janvier 2021 Les gens de Malabo. Obiang Nguema Mbasogo », conclut le journal.
Wilfried SUPPRIMER